mardi 31 mai 2016

Théorie : Les "Ley Lines"

Suite à mon post précédent sur le jeu Rifts, j'ai eu envie de me renseigner un peu plus sur les Ley Lines, j'ai trouvé ce texte pour changer des définitions Wikipédia qui est très intéressant et donne même des idées pour des scénarios de jeu. Attention toutefois, vu le site, il faut lire cela comme on regarde un épisode d'Alien Theory, on voudrai bien y croire mais il est préférable de rester sur du second degré.


LE RESEAU HARTMANN

Bien que les divers travaux et recherches des anciens aient été quelque peu oubliés, du moins en Occident, c’est à l’Université d’Heidelberg, en 1935, que le Docteur Hartmann émit l’hypothèse qu’un réseau électromagnétique couvre l’ensemble de la surface terrestre. Il n’était pas le premier, loin s’en faut, à effectuer des recherches dans ce domaine puisque autant en Grande Bretagne avec Haviland, en France avec Peyré et Chrétien, des constatations analogues avaient déjà été effectuées.

A cause de cette forte activité tellurique parfois fortement perturbatrice, ces zones ont été nommées “nœuds radiants”. Les variations du réseau Hartmann permettent donc d’une part de détecter de telles anomalies de terrain et d’autre part de mettre en évidence des points précis à éviter lors de la construction ou de l’aménagement d’un habitat. Si le lit se trouve à l’aplomb d’un tel “nœud” non seulement le sommeil risque d’en être perturbé mais à la longue des troubles psychiques et physiques peuvent se déclarer.

Une simple faille ou un cours d’eau souterrain peut, à la suite de la déformation du réseau, provoquer une concentration de ces “nœuds radiants” sur un espace limité. Dans ce cas il peut s’agir de ce que l’on nomme communément une “maison à problème”, une “maison à suicides”, une “maison à cancer”. Cela est une théorie car si l'homme dessine depuis toujours les étoiles sur la terre, il n'y a pas de preuve d'un réseau contenant de l'énergie !


ALIGNEMENTS SOLAIRES

Plus d'un site archéologique antique présente des preuves irréfutables d'un alignement avec des phénomènes tels les levers de SOLEIL aux solstices et équinoxes, les couchers de LUNE aux maxima et minima de déclinaison et, parfois, avec les étoiles ou les planètes. L'archéoastronomie est l'étude scientifique de ces alignements...

Il fallait tout d'abord placer un repère au centre du monument. Ensuite, pour trouver le nord géographique, on notait les points de lever et de coucher d'une étoile, puis on cherchait le point médian. Les points de lever et de coucher du SOLEIL aux solstices, ainsi que les maxima et minima de déclinaison de la Lune étaient, pense-t-on, localisés par une série de repérages au moyen de pieux, des points de lever et de coucher à l'horizon sur une période donnée. On dressait alors des marqueurs permanents pour indiquer certains points d'intersection. Avec le temps, la science du ciel dut permettre de bâtir un monument sans attendre les 18,6 ans d'un cycle lunaire complet.


GIZEH CENTRE DU MONDE

Pour les égyptiens tout était donc planifié par les étoiles selon les époques astronomiques. Le point vernal ou 0° Bélier équinoxe du printemps, est ainsi appelé parce que ce mot vient du latin " Vernales " qui signe Printemps. Ce point vernal se déplace, dans le sens des aiguilles d'une montre, à raison de 1° tous les 71,7 ans. Si on multiple ce nombre d'années par 30, on obtient 2151 ans (une époque).

En partant du point zéro le Bélier qui est à gauche dans le zodiaque, cela donne : Bélier 2151 ans + Taureau 2151 ans + Gémeaux 2151 ans + Cancer 2151 ans = 8604 ans. Puis si l'on ajoute la moitié d'une époque 1075 années à 8604 = 9679 environ quand le point vernal venait de dépasser le milieu du signe précédent, le signe du LION d'où la présence du SPHNIX à GIZEH. Chronologiquement, la destruction de l'Atlantide correspond au dernier déplacement de l'axe polaire vers 9800 avant J.C.

En 1859 l'anglais John Tailor divisa le demi périmètre de la pyramide par la hauteur et trouva le nombre Pi. La plus grande surface visible des 4 faces, divisées par la plus grande surface (carré invisible) de la base donne Phi, le fameux NOMBRE D'OR.

La COUDEE ROUGE est le nombre PI. Le choix de la COUDEE ROYALE est uniquement une mesure pour ces propriétés mathématiques, la COUDEE ROYALE égale 0,5236, elle égale la division par 6 du périmètre d'un cercle d'1 mètre de diamètre. (donc 3,1416 (Pi) divisé par 6.). Les 5/6 ième qui reste sont le NOMBRE D'OR au carré. Donc 3,1416 - 2,618 = 0,5236 et Pi moins Phi au carré = la COUDEE ROYALE. Le fait que le mètre a été réintroduit plus tard ne veut pas dire qu'il ne fut pas utilisé avant.




Énormément de sites archéologiques sont alignées sur un cercle de la taille d'un équateur incliné de 30° par rapport à notre équateur actuel comme le démontre Jacques Grimault dans la "Révélation des Pyramides". Cette courbe qui part de l'île de Pâques jusqu'à GIZEH fait partie d'une ligne de 40.000 kilomètres de long, soit un cercle aussi grand que l'équateur terrestre mais aligné à 30 degré de celui-ci, cercle d'une centaine de kilomètre de largeur et englobe de nombreux sites sacrés. Puis les civilisations continuent cette œuvre avec des cercles pour marquer la précession des équinoxes.




L'ile de Paque, les chandelier de Paracas, les pistes Nazca, Ollontaytombo, Machu Picchu, Cuzco, Sacsayhuaman, puis toujours au Pérou par le site des pyramides de Paratoari, en Afrique il englobe les sites des énigmatiques Dogon du Mali, le site de Tassili N'ajjer en Algérie avec son grand dieu martien peint, en Egypte par l'oasis de Siwa et son temple de ZEUS / AMON puis ensuite par les pyramides de GIZEH.

La ligne va continuer par Pétra en Jordanie, par Ur en Irak, Persépolis en Iran, Mohenjo Daro au Pakistan par avec son écriture apparentée à celle de l'ile de Paque et e curieux squelettes radioactifs, puis sur des sites qui ont toujours été considérés comme la demeure des dieux, Khajuraho en Inde, Pyay en Birmanie, Sukhothai en Thaïlande, Angkor Vat et Preah Vihear au Cambodge, ainsi que d'autres sites antiques oubliés pour aboutir à l'île de Pâques.






Ce cercle a pour pôle nord un point précis (quand on le calcule) et si l'on trace des lignes entre Gizeh et Nazca avec lui on obtient un triangle aux proportions exactes de la pyramide. La distance entre Nazca et Gizeh est la même qu'entre Teotihuacan et Gizeh. Même chose entre Angkor Vat et Nazca et Mdhenjd Dard et l'île de Pâques ces 4 sites étant situés sur le cercle.

La distance entre l'ile de Pâques et Gizeh vaut 10.000 fois le NOMBRE D'OR sur le même cercle. La distance de Angkor Vat et Gizeh multipliée par le nombre d'or est égale à la distance de Gizeh à Nazca et la distance Gizeh Nazca multipliée par le NOMBRE D'OR est égale à la distance Nazca à Angkor.


LES LIGNES DE LEY

Des représentation de la carte du ciel sur la Terre

Il existe un treillis de lignes entrelacées qui se révèlent par leurs traces physiques sur la Terre, différent du système de méridiens et de parallèles, mais par certains aspects, il présente quelques rapports avec lui. Cela est redécouvert à partir de la fin du 19e siècle. Au 19e siècle, à peu près en même temps, plusieurs personnes en Europe sont intriguées par la disposition de certains lieux antiques ou lieux de culte qui commençaient à susciter de l'intérêt, et font quelques investigations rudimentaires avec leurs propres moyens.

Ainsi, en Angleterre, William Black s'intéressait au réseau subsistant des anciennes routes romaines. De fil en aiguille, il se rend compte qu'il existait un filet de lignes droites qui couvrait la Grande-Bretagne et au-delà. Des lignes radiales et polygonales reliaient des points et édifices précis du paysage, dont certains constituaient des bornes de comtés. En 1870, il fait une conférence à la British Archaeological Association où il expose sa théorie. Il énonce que Entre les monuments existe un marquage fait de lignes géométriques qui couvrent l'ensemble de l'Europe occidentale".




En 1882, G. H. Piper fait une causerie où il énonce que Si on trace une ligne depuis la montagne Skirrid-fawr vers la Pierre d'Arthur au nord, elle passe par Hatterall Hill, et les châteaux de Oldcastle, Longtown Castle, Urishay et Snodhill. La ligne de ley à Saintbury en Angleterre emprunte un ancien chemin, passe par une croix médiévale, une église saxonne, et un tumulus.

Dans notre culture occidentale contemporaine, le concept d'alignements de sites est généralement attribué à l'anglais Alfred Watkins dans les années 1920, bien qu'à la même époque d'autres aient eu la même idée, tel l'astronome anglais Norman Lockyer. En 1921, en se promenant à cheval dans les collines de Blackwardine situées dans le Hereforshire, Watkins remarque que de nombreux sentiers semblent relier une colline à une autre en ligne droite.

En examinant ensuite une carte, il a l'intuition soudaine de l'alignement de sites préhistoriques. Recherchant des preuves visuelles de cette théorie, il découvre que des sites tels que des pierres levées (menhirs), des collines rondes artificielles ou tumulus (qu'on prétend être d'anciennes structures funéraires) sont situés en ligne droite sur des kilomètres à travers la campagne. Il prend de nombreuses photographies sur le terrain et constitue un club de recherche, leStraight Track Club. Watkins produit conférences, articles et livres (The Old Straight Track, 1925).

Watkins remarque que ces lignes traversent des lieux dont les noms comportent le suffixe ley (ou lay, lee, leigh, lea, ly). Cet ancien mot anglo-saxon signifie espace dégagé, tel que clairière, prairie ou couloir de dégagement. C'est pourquoi il les nomme lignes de ley. Plus tard, il abandonne cette terminologie pour le terme piste ancienne rectiligne (old straight track). Mais le terme ley a été repris tel quel par d'autres et a subsisté dans l'usage.


LES JALONS DES LIGNES DE LEY

Quand ils détectent une ligne de ley, Watkins et ses collaborateurs la remarquent par des éléments du paysage physiquement repérables. Puis en l'examinant plus attentivement sur le terrain, ils trouvent d'autres éléments moins visibles, parfois enterrés.

Les jalons de ces lignes sont des éléments soit naturels, soit construits de main d'homme: lieux liés à l'eau (mares, sources, puits), tumulus, dolmens, menhirs, cromlechs (cercles de pierres), cercles et ouvrages de terre, châteaux, églises, collines de forme particulière.

Pour Watkins, il semblait logique que ces lignes étaient les traces d'anciennes voies de transport existant avant l'occupation romaine. Les sites seraient alors des points de repérage pour les voyageurs, des points de mire et de halte à travers le paysage, de colline en colline. Sans plus d'éléments, il lui était difficile d'imaginer leurs véritables fonctions.

Par la suite, ces lieux auraient été utilisés pour y construire des temples et constructions sacrées. On sait effectivement que les chrétiens ont construit leurs églises, les grandes cathédrales et autres sites sacrés à l'emplacement de cultes anciens préexistant. Les lignes de ley existaient indéniablement aux temps préhistoriques.


LA LIGNE SAINT-MICHEL

Après une période de vague oubli de l'existence des lignes de ley, John Michell leur apporte une contribution majeure dans son livre The View Over Atlantis (1969). Il y fait connaitre les observations de Watkins, les resitue dans un contexte plus large qui fait appel aux connaissances anciennes ...




Il met en évidence une ligne qui traverse tout le sud de l'Angleterre sur 600 km. Elle démarre à la pointe sud-ouest, en Cornouailles, au Michael's Mount, une ile de forme pyramidale située dans Mount's Bay. L'axe traverse des sites célèbres comme Glastonbury et Avebury, et passe par de nombreux bâtiments religieux dédiés à SAINT-MICHEL.

C'est pourquoi elle est nommée la ligne SAINT-MICHEL. Bien entendu, ce n'est là qu'un nom relativement récent, car elle existait bien avant la christianisation, et son nom était ligne Atlas. La ligne SAINT-MICHEL est orientée sur le rayon du soleil levant du 8 mai qui est justement la date de la fête printanière de SAINT-MICHEL.


Sint-Michael Mount en Cornouailles

Le site d'Avebury


Pour les Irlandais APOLLON est le MAC OC (Fils Jeune) ou bien le OENGUS (le Choix Unique, le nordique Ingwi), Chez les Gallo-Romains il est le Dieu du soleil, dont toutes les fêtes ont lieu l’été. Le Christianisme reprit à son compte cette symbolique apollinienne. Celle du Christ n’ayant probablement pas suffit à gagner les fidèles du culte solaire, en particulier ceux d’APOLLON / BELENOS, elle imagina un antidote plus puissant !

C’est ainsi qu’au VIème siècle apparu le culte de SAINT-MICHEL. L’Église avait injecté dans l’Archange d’origine hébraïque “ MACHKAL ". Ainsi, le triomphe de SAINT-MICHEL sur le dragon est la réplique de celui d’APOLLON sur PYTHON ou de SIEGFRIED sur le Dragon du RAGNARÖK …


L'AXE APOLLON

Dans les années 1950, le français Jean Richer installé en Grèce fait des investigations à propos des temples grecs, qu'il publie dans son livre Géographie sacrée du monde grec. Il remarque que les temples et les Oracles sont souvent situés à des emplacements difficilement accessibles, ce qui n'était pas compatible avec l'objectif d'une fréquentation populaire. Il se demande donc quelle en est la raison. Il pressent que ces centres étaient reliés, mais il ne sait pas pourquoi.

C'est en rêve qu'il obtient la réponse. Une statue d'APOLLON lui montre la connexion entre les sanctuaires qui le représentaient à Delphes et Athènes. A Delphes se trouve l'ancien ORACLE de la Terre-Mère et Athènes abrite le temple de l'Acropole dédié à ATHENA. Une fois réveillé, il prend une carte, trace la ligne Delphes - Athènes, et constate qu'elle se prolonge sur l'île de Délos, le lieu de naissance d'APOLLON, et au temple d'APOLLON de Kamiros sur l'île de Rhodes. La ligne traverse d'autres sites sacrés dédiés à ARTEMIS tel que le Temple d'Agra.




Un peu plus tard, Lucien Richer, le frère de Jean, poursuit cette recherche, prolonge la ligne vers le nord-ouest et vers le sud-est où il trouve bien d'autres correspondances. Dans un article daté de 1977 intitulé " L'axe Saint-Michel Apollon " , il décrit cet alignement qui s'étend jusqu'à l'extrémité de l'Irlande, à l'ile sacrée de Skellig Michael (visible dans Starwars 7), la ligne traverse de nombreux sites célèbres dédiés à St-Michel comme Saint Michael's mount déjà nommé à la pointe de la Cornouailles en Angleterre, le Mont Saint-Michel en Normandie, la Sacra di San Michele dans les Alpes italiennes et Monte Sant'Angelo dans la péninsule italienne Gargano, sanctuaire ancien dédié à Saint-Michel; le temple d'Artémis à Corfou, Delphes, Délos, et se prolonge jusqu'au Mont Carmel en Israël, couvrant ainsi une distance d'environ 4000 km. Là, il se divise en Israël et en Égypte, puis rejoint le site de la Mecque en Arabie Saoudite.

Si le nom de SAINT-MICHEL est chrétien, les sites qui lui sont dédiés sont d'origine préchrétienne. Ils ont été auparavant dédiés par les druides aux dieux du soleil et aux déesses-mères de la terre. Puis ils ont été absorbés par les chrétiens et renommés. Une ligne droite de l'Irlande à Israël traverse des sites consacrés à SAINT-MICHEL et APOLLON. Jean Richer découvre aussi, par l'examen de monnaies anciennes, que des lignes marquées par des temples rayonnent de Delphes, Délos et Sardes, et forment la roue d'un ZODIAQUE.

Depuis les années 1930, la popularisation du concept d'alignements de sites sacrés a permis d'attirer l'attention sur ce phénomène dans d'autres pays et beaucoup d'autres ont été repérés. Au Portugal, le double cromlech d'Almendres, dans le complexe d'EVORA, est aligné avec deux autres sites anciens sur 50 km: le dolmen de Anta Grande dans le site de Zambujeiro; le cromlech de Xuarez de forme rectangulaire près de Monsaraz.


ARCHE DE LA DEFENSE

L'Arche utilise donc les mesures de la pyramide du Nord à Dahchour en Egypte, connu sous le nom de la Pyramide Rouge. Elle était la dernière pyramide construite avant la construction de la Grande Pyramide. Les mesures indiquent également 420 coudées (220 mètres) de long, 20x multiples de 21/11. L'un des cercles en pierre en Angleterre est à Rollright. Son diamètre est de 31,4 mètres, une expression précise de PI fois 10 mètres. Compte tenu de la 6 / PI, le diamètre du cercle de Rollright est aussi de 60 coudées égyptiennes antiques.




Le site de DENDERAH en Egypte a été dédié à HATHOR - ISIS. Si pour beaucoup ISIS est SIRIUS ce n'est absolument pas ce qu'indique les créateurs gréco-romain (et égyptiens) sur le Zodiaque de Denderah. L'année égyptienne commence à la date du lever héliaque de Sirius à la mi-Juillet. Le lever héliaque de Sirius annonçait la crue annuelle du Nil qui était essentiel pour le bien-être de l'Egypte ancienne. L'axe du temple d'Isis à DENDERAH est aligné à 20 ° au Sud Est pour pointer directement vers le point du lever de SIRIUS à partir de la latitude de DENDERAH.


UN RESEAU DE REGIONS

Le professeur Livio Catullo Stecchini a affirmé qu'un certain nombre de sites à travers le monde antique était situé par rapport au méridien de longitude de la Grande Pyramide. Cette latitude était la limite nord de la visibilité de CANOPUS, avec 30 degrés Nord, non seulement la latitude de Persépolis, mais aussi de la Grande Pyramide. À 33 º nord, le point médian de cette distance, six degrés de latitude est égale à 7 º 12 'de longitude, la division des régions avec le tropique du Cancer a été considéré comme étant situé dans les temps des premières dynasties.




Dans le modèle de Stecchini, la zone située entre 30 et 36 degrés serait considérée comme " la Basse-Égypte " bien plus symbolique que pratique. Ce qui est remarquable à propos de l'Egypte ancienne, en particulier dans les découvertes liées à CANOPUS, l'étoile polaire du Sud.

Stecchini a fait remarquer que le nom original qui a été utilisé par les anciens Egyptiens pour leur pays était TO-MERA , " La terre qui a été mesurée ". Dans l'imagerie des anciens Egyptiens le fil à plomb (Osiris) était une nécessité pratique et il contenait tous les ingrédients symboliques nécessaires pour mesurer les profondeurs de l'abîme et de l'inondation annuelle.


TRIANGLES ET POLYGONES

De nombreuses lignes sont progressivement découvertes, et en se croisant et s'entrecroisant, elles forment un tissu géométrique. Comme le signalait déjà en 1939 le Major H. Tyler dans son livre The Geometric arrangement of Ancient Sites, beaucoup de lignes rayonnent à partir d'une intersection commune. Ainsi 8 lignes divergent depuis l'église de Wooburn (Buckinghamshire).

Le tissu géométrique est composé de triangles, quadrilatères et autres polygones. Les triangles ont souvent leurs côtés égaux: isocèles ou équilatéraux. Sir Norman Lockyer (1836-1920), un astronome royal, remarque que Stonehenge, le château de Grovely (Grove-ley) et Old Sarum (Salisbury) forment un triangle équilatéral de 10 km de côté.

Dans d'autres cas ce sont des triangles avec un angle droit (triangle rectangle). Glastonbury, Stonehenge et Avebury forment un triangle rectangle parfait, qui est orienté approximativement vers le nord. Le côté Glastonbury /Avebury est situé sur la ligne St-Michel. Le côté Glastonbury /Stonehenge de ce triangle est aussi l'un des côtés d'un décagone (polygone à 10 côtés) mis en évidence par John Michell. Dans certains cas, des sites sont situés sur des cercles concentriques autour d'un centre de rayonnement.

Dans d'autres endroits, des leys sont parallèles sur plusieurs kilomètres. Cela pose question sur leur interprétation en tant que pistes anciennes. Où mèneraient-elles? Pour Tyler, les alignements étaient présents avant les pistes et marquaient une division géométrique rectangulaire du terrain.

Dans son livre Megalithic Sites in Britain (1967), le professeur Alexander Thom observe: Il est remarquable que 1000 ans avant les premiers mathématiciens de la Grèce antique, des gens de ces iles avaient non seulement une connaissance pratique de la géométrie et étaient capables de mettre en place des dessins géométriques élaborés, mais savaient aussi installer des ellipses basées sur les triangles pythagoriciens.


ALIGNEMENTS DE SITES SACRES

Les membres du Straight Track Club de Watkins étaient très actifs et certains ont recherché l'existence des lignes de ley dans d'autres pays. Par ailleurs, au même moment, dans ces pays mêmes, des investigateurs locaux s'intéressaient également au sujet. Au cours des années suivantes et jusqu'à nos jours, plus on recherche ces lignes, plus on y porte attention, et plus on en découvre partout en Europe. De plus l'évolution technique a apporté des moyens supplémentaires de détection de ces alignements par des photos aériennes et encore mieux par des photos satellites qui ont rendu cette tâche beaucoup plus facile.

En effet, on s'est rendu compte que certaines lignes visibles d'en haut sont difficilement repérables sur le terrain. Parfois, elles sont signalées seulement par une couleur différente des végétaux, ou soulignées par des bordures de champ, un chemin de campagne, une route ancienne.

Les chroniqueurs romains rapportent qu'au moment de leurs conquêtes, ils ont trouvé des lignes droites dans presque tous les pays en Europe, en Crête, dans la région de Babylone et en Afrique du Nord. Ces tracés existaient donc bien avant eux. Ils ont également constaté la présence de menhirs alignés dans la campagne toscane en Italie, une région occupée par les Etrusques.

En 1929, Wilhelm Teudt, un prêtre allemand, publie un livre intitulé Germanische Heiligtümer (Sanctuaires germaniques) où il rapporte l'existence de lignes sacrées en Allemagne centrale. Ces lignes relient des sites antiques sur des centaines de kilomètres en ligne droite et forment des figures géométriques.

Toujours à cette époque, le géographe allemand Joseph Heinsch était intrigué par la cathédrale de Xanten et par sa mosaïque au sol qui représentait une carte orientée des églises de la région. En 1939, dans une conférence intitulée Principles of Prehistoric Cult-Geography, il explique que les centres sacrés étaient situés sur des figures géométriques en lien avec les constellations. Certaines lignes orientées à l'ouest reliaient des centres dédiés au culte de la lune à d'autres orientées à l'est reliaient des centres dédiés au soleil. Les unités de mesure employées étaient des fractions simples des dimensions terrestres.


ALAISE

En France aux alentours de 1910, Xavier Guichard (1870 - 1947) étudie l'origine des noms de lieux (toponymes). Il se concentre particulièrement sur le toponyme ALESIA qui revient de façon récurrente sur tout le territoire français (plus de 400 sites). Ses déductions sont rapportées dans son livre ELEURIS ALESIA, Enquête sur les origines de la civilisation européenne (1936).




Selon lui, on retrouve le nom Alesia sous les formes indo-européennes Alaise, Alès, Alis ou Alles. Il signifie point de rencontre, lieu de halte lors des voyages. Il est étonnant de remarquer la consonance phonétique entre alaise et ley. Mais Guichard n'avait probablement pas connaissance des travaux de Watkins.

ALESIA est apparenté au mot grec Eleusis. Éleusis était une ville de Grèce située à 20 kilomètres d'Athènes, célèbre pour son culte consacré à Déméter et à sa fille Perséphone. Dans la religion grecque antique, les mystères d’Éleusis célébraient ces déesses-mères et sont à l'origine des cultes liés aux VIERGES NOIRES qui se sont répandus en Europe. Ces lieux sont presque systématiquement associés à une colline dominant une rivière, à un puits ou à la présence de sel.

D'après Guichard: Ces villages ont été établis dans les temps anciens selon des lignes astronomiques immuables, déterminées d'abord dans le ciel, puis transférées sur Terre à intervalles réguliers, chacun valant un 360e du globe.

Ils sont placés le long de lignes nord-sud parallèles s'étendant dans toute l'Europe, équidistante de 1° d'arc. Cela implique que les constructeurs antiques de ces villages connaissaient les pôles et l'équateur, les mouvements des astres, le partage du cercle en 360°, la longueur du degré terrestre, enfin les coordonnées géographiques, longitudes et latitudes. Les lieux sont également répartis sur 24 lignes géodésiques qui rayonnent à partir d'un centre, Alaise, près de Besançon. Ce centre serait le centre rituel et mythique de l’Europe pour le culte des vierges noires.


ASTRONOMIE ET ZODIAQUE

On entre là dans le domaine de l'archéoastronomie. L'archéoastronomie résulte de l'association de l'astronomie et de l'archéologie pour déterminer les connaissances et les représentations des anciens, à partir des inscriptions qu'ils ont laissées dans leurs monuments. Elle est née dès les années 1960 avec des chercheurs de terrain qui en ressentaient l'évidence. Mais elle était rejetée alors par les universitaires. Cette situation est en train de changer peu à peu alors qu'arrivent à la fois de nouvelles générations plus ouvertes et de la matière archéologique plus abondante pour l'attester. Elle est maintenant reconnue par l'université avec prudence, et même étudiée.

On constate que de nombreux sites archéologiques présentent un ou des axes orientés dans des directions précises. Ces directions sont généralement en rapport avec le soleil ou la lune. Par exemple avec leur lever au moment de l'équinoxe ou du solstice ou à une autre date significative. Citons quelques exemples supplémentaires.




L'ouverture de la grotte de Lascaux en Dordogne est orientée face au soleil couchant du solstice d'été. Au château cathare de Montségur, le premier rayon de soleil à l'horizon du solstice d'hiver traverse le château dans sa longueur par une petite ouverture. Au solstice d'été, il traverse les quatre archères du donjon au nord-ouest avec une précision millimétrique. A Carnac, en Bretagne (France), l'orientation des alignements de menhirs correspond au soleil levant du solstice d'été. Autrement dit, le rayon solaire balaie à cet instant tout l'alignement jusqu'au cromlech à l'extrémité sud-ouest.

L'Allemagne est aussi dotée de centres préhistoriques, tels le cercle de Goseck et le cercle de Goloring. Le cercle de Goloring, situé en Rhénanie Palatinat proche de Coblence, a été étudié dès 1948 par le Dr. Röder. Il est composé d'un fossé circulaire de 175 mètres de diamètre, 80 cm de profondeur environ et une largeur maximum de 6 m. Autour se trouve un talus circulaire de 190 m de diamètre, 7 m de large et 80 cm de haut. Ses proportions sont similaires à celles de Stonehenge. Dans des études récentes, le Dr Zack avance que le Goloring est une horloge solaire géante.

Le cercle de Goseck situé en Saxe-Anhalt a été découvert en aout 2003 par survol aérien et étudié par Wolfhard Schlosser. Ce ne sont pas ici des constructions en pierre, mais des talus en terre et des palissades de bois qui ont difficilement survécu au temps. De 75 m de diamètre, il comprend 3 cercles concentriques de terre et d’épieux de bois avec chacun 3 ouvertures qui coïncident avec les levers et couchers du soleil aux solstices d’hiver et d’été. On peut le mettre en rapport avec le disque de Nébra trouvé à moins de 30 km de là, et avec le cercle de culture de Grasdorf qui est apparu en 1991 près de Hildesheim à 150 km plus au Nord-Ouest.

En Angleterre et en Écosse, au début du 19e siècle, N. Lockyer déjà nommé plus haut repère une ligne d'importance astronomique issue de Stonehenge, longue de 35 km, qui trace la course du lever de soleil de milieu de l'été. En 1965, le professeur Gerald Hawkins suggère que les constructeurs de Stonehenge avaient des connaissances astronomiques poussées. En 1967, un professeur de technologie en retraite, Alexander Thom, publie un livre Megalithic Sites in Britain qui a un retentissement important.

Il relate ses mesures sur plus de 500 pierres qu'il a étudiées sur le sol écossais et britannique. Il énonce que les monuments mégalithiques tels que que Stonehenge, Avebury, Long Meg, mais aussi bien d'autres de taille plus modeste dont les pierres semblent placées au hasard, suivent en réalité un plan précis au millième, basé sur des figures géométriques (cercles, ellipses ou autres). La géométrie des cercles de pierres dérive des positions extrêmes du soleil, de la lune et des étoiles au moment de leur lever à l'horizon.

Le site du Calanais ou Callanish en Écosse se présente comme un vaste champ de pierres levées. Pour Alexander Thom, ses pierres forment un calendrier basé sur la position de la Lune. Il suggère que l'alignement des pierres, lorsqu'on regarde vers le sud, pointe vers la pleine Lune du milieu de l'été derrière une montagne lointaine appelée Clisham.

Même des églises, pourtant bâties à des époques plus récentes, ont des orientations reliées à l'astronomie. À une certaine date, des rituels avaient lieu pour célébrer le courant d'énergie qui coule selon les lignes qui les traversent, afin de distribuer cette énergie aux alentours et d'en faire bénéficier les récoltes.

En Irlande, dans les années 1980, Martin Brennan (voir son livre The Star and the Stones) a dépensé une énergie incroyable pour faire admettre sa théorie sur le rapport entre l'orientation des couloirs des tumulus (dolmens recouverts de terre) et le calendrier (solstices, équinoxes et le jour à mi-temps entre les deux). Par la suite, beaucoup l'ont suivi dans ses déductions sur le lien astronomique. Un magnifique exemple est l'entrée sud de NewGrange, en ligne avec un menhir et un tumulus, et dont le couloir d'entrée est éclairé au premier rayon du solstice d'hiver. D'autres couloirs sont dans l'axe d'une ligne de ley.

En Amérique latine le site de Teotihuacan est un site archéologique du Mexique qui était un véritable ville, structurée par sa longue "allée des Morts" rectiligne qui la traverse sur 4 km environ selon un axe presque nord-sud, avec une déviation de 15° 50' vers l'est. Il s'y trouve de nombreuses pyramides à degrés, dont au nord la "pyramide de la Lune", et au milieu la "pyramide du Soleil". L'orientation correspond au lever du soleil du 13 aout. Dans son ouvrage Cycles of the Sun, Mysteries of the Moon: The Calendar in Mesoamerican Civilization (1987), le Dr. Vincent Malmström fait remarquer que cette date représente le commencement du monde dans la mythologie Maya.

Plus au sud, en Bolivie, à proximité du lac Titicaca, se trouvent les ruines de la ville de Tawanaku. Elle comporte elle aussi des pyramides à degrés et d'autres monuments tels que la porte du soleil. Son orientation astronomique est précise. Toutefois, elle ne peut être comprise (selon Posnansky) que si elle se rapporte au ciel tel qu'il était en 15'000 avant J.C. D'autres éléments sont en faveur de cette date, par exemple l'existence de quais à une distance du lac actuel qu'il couvrait à l'époque.


CARTES DU CIEL

Le rapport d'un site avec les constellations peut prendre d'autres aspects. Dans certains cas, le complexe mégalithique est bâti selon le plan d'une constellation. John Foster Forbes (1889 - 1958), auteur avec Iris Campbell de Giants, Myths and Megaliths, est intrigué par des pierres situées sur le territoire britannique, qui sont gravées de cupules. Tandis que certains archéologues ne voient là que des récipients pour recueillir des liquides lors de rituels, voire même du sang, Forbes démontre que les cupules dessinent le plan de situation de l'ensemble du site et que ce plan représente une constellation. Dans le paysage même, le nom des collines et des monts reflète souvent un aspect du soleil, de la lune ou d'une étoile.

En Égypte, selon Robert Bauval (Le mystère d'Orion), le Nil est par sa forme la reproduction terrestre de la voie lactée. On retrouve cette correspondance d'espaces géographiques avec la voie lactée dans la vallée de Tepoztlan au Mexique, la vallée de Elky au Chili, et dans le chemin de Saint-Jacques de Compostelle en Europe.

Au Pérou, la rivière Vilcanota (ou Wilcamayu, Huilcamayo, Urubamba) dans la vallée sacrée de Cuzco était également considérée par les Incas comme la représentation de la voie lactée. Les espace rituels (huacas) le long de la vallée sont les reflets des constellations situées de part et d'autre de la voie lactée.

Bauval a fait des relevés détaillés des pyramides de Guizeh et à proximité. Il a montré que leur disposition était identique à celle des étoiles d'Orion. L'un des conduits dans la Grande Pyramide, qui est supposé être une aération mais dont on ignore la fonction, pointe vers l'une des étoiles d'Orion. Toutefois, ce pointage n'est strictement réalisé que si on considère le ciel au moment de sa configuration en 10'500 av. J.C., comme à Tianahuaco. Bauval suppose que c'est l'époque de construction des pyramides, à l'encontre de l'avis des historiens qui maintiennent leur conviction de 4000 ans d'âge environ pour ces pyramides. Nous verrons que d'autres observations plaident en faveur de la supposition de Bauval.




En France, c'est la constellation de la VIERGE qui domine. Ainsi les Cathédrales NOTRE-DAME forment la constellation de la VIERGE au-dessus de la France avec PARIS pour SPICA et ROUEN pour l'EPI DE BLE. On retrouve cette constellation de la maison du pain dans toutes les cultures et bien évidement sur le ZODIAQUE égyptien. Il existe bien évidement d'autres constructions avec la VIERGE et les autres signes, mais il semblerait que la France représente la VIERGE dans la construction.


ZODIAQUE DE GLASTONBURY

En 1929, Kathryn Maltwood crée un choc avec son livre A Guide to Glastonbury’s Temple of the Stars dans lequel elle rapporte les dessins de vastes figures se révélant dans le paysage autour de Glastonbury en Angleterre. Ces figures sont soulignées par les courbes du paysage, les collines, les routes et les cours d'eau et ne sont visibles que sur une vue aérienne.

Elles représentent les signes du zodiaque et chacune de ces figures est située à l'emplacement approprié correspondant de la roue zodiacale. Elles forment un cercle de plus de 15 km de diamètre. Les noms des villages situés dans un signe zodiacal sont souvent en corrélation avec ce signe. Par exemple, au Nord de Glastonbury, on trouve Aries Drive (route du Bélier) dans le signe du Bélier.




Pour K. Maltwood, le zodiaque de Glastonbury peut également être mis en rapport avec la table ronde du roi Arthur, ses 12 chevaliers, Guenièvre et Merlin, car Glastonbury (situé dans le signe du verseau) est l'île d'Avalon mythique.

En fait, Maltwood n'est pas la première à rapporter cette observation car cela avait été révélé par le Dr Dee aux alentours de 1580. Il avançait que le paysage avait été modelé par une population préhistorique. Les anthropologues estiment sa construction à au moins 3000 avant J.C., d'autres à 7000 av.J.C.

Glastonbury n'est pas le seul cas de roue zodiacale imprimée dans le paysage. Jean Richer, en Grèce, a mis en évidence celle de Delphes. Il postule aussi que Milan (Italie) et Tolède (Espagne) sont des centres zodiacaux.

G.R. Doumayrou (Géographie sidérale) a montré qu'il en existait une autour de Toulouse (France). Les noms de lieux, les blasons des villes ou des régions, sont symboliquement en rapport avec le secteur zodiacal dans lequel ils se trouvent. Selon lui, le nom Toulouse évoque de façon suggestive le grec Thòlos, qui désignait, dans les temps primitifs, la touffe végétale coiffant et liant le sommet des huttes rondes en branchages. Par la suite, le sens s'en est étendu à la coupole hémisphérique en pierres sèches, et enfin plus particulièrement à la voûte des fours et étuves.


ORION ET LES HOPIS

Le " GRAND G COSMIQUE " est vénéré et chanté (Hay Ya) par les indiens. ORION est la constellation la plus importante pour les Hopis. Elle symbolise, par exemple, la cérémonie cruciale du solstice d’hiver. A chaque pueblo ou ruine d’un ancien village hopi correspondrait une étoile majeure de la constellation d'ORION (The Orion Zone, Ancient Star Cities of the American Southwest - Une réflexion inédite sur la relation entre les villages hopis et la constellation d’ORION de Gary A. David, selon lui ces alignements avec la constellation d’ORION seraient l’héritage d’une sorte de super civilisation perdue ou peut-être un message venant des étoiles.




Pour les Hopis l'homme, à chaque émergence recommence dans la pureté. Mais le monde nouveau se corrompt par le mal et il doit être détruit. L'homme alors émerge dans le monde suivant. Il s'agit d'une longue et lente route sur laquelle péniblement et sans répit l'homme s'avance.

Celui qui observe la loi des lois et se conforme à l'image pure et parfaite établi par le Créateur devient à sa mort un kachina. Immédiatement il accède au monde suivant sans avoir à passer difficilement au travers des mondes intermédiaires, en quelque sorte des étapes sur le chemin de la vie. De là, après un voyage dans les vastes immensités de l'espace interstellaire, il vient périodiquement, avec tous les kachinas des autres formes de vie, pour aider l'homme dans la poursuite de son voyage évolutionnaire.


CARTES DU CIEL

Toute la terre est couverte de CERCLES et de Lignes. Une construction à partir des Pyramides. Le ciel est reproduit sur la terre. Dans cette construction, le Nombre 33 est important car il est un puissant symbole SOLAIRE et du ZODIAQUE. Le dernier CERCLE (le quatrième soleil) est à 3300 kms des pyramides construites sur le 33e parallèle.

Tout est caché depuis la nuit des temps, on se demande si les égyptiens comprenaient vraiment les mystères du ZODIAQUE de Denderah qui semble bien plus vieux. Depuis, la terre est couverte de cercles et de lignes, toutes les constructions affichent un occultisme basé sur le ZODIAQUE, les nations sont construites aussi avec les étoiles, les blasons des villes, les fleuves, mes monuments, etc.. A chaque EPOQUE astrologique (environ 2160 années), un nouveau culte est inventé en relation avec le ciel, le centre religieux est déplacé selon les croyances et toujours en relation avec le cycle de la précession des Equinoxes.

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