samedi 29 juin 2019

Petite trouvaille figurine

Hier j’ai mené mon fils chercher un cadeau pour un pote à lui dont c’était l’anniversaire. On a été dans une boutique pour acheter une Funko Pop et là je suis tombé sur ça :





Il s’agit d’une figurine Totaku, je ne connaissais pas mais apparemment c’est des figurines inspirées de jeux vidéo entre autres. Là c’est la référence :

FIGURINE TOTAKU N°22 - YU-GI-OH! - SUMMONED SKULL

Sur les photos elle est prise avec une figurine D&D Miniatures Big de bonne taille afin de comparer.

Je vais voir si je peux la ressocler facilement et chez moi ce sera un Démon ou un Super Vilain ou un Super Alien à la Dragon Ball bref je verrais mais j’aime bien son look Manga et elle est plutôt jolie. Vous savez qu’ici on aime les mélanges et soldée à 4 euros et des poussières je n’allais pas me priver.

Apparement il s'agit dans Yu-Gi-Oh de la carte d'un démon nommé Crâne Invoqué, dont les pouvoirs diaboliques désorientent l'ennemi.



vendredi 28 juin 2019

Illustrations by Slovakian artist Peter Kľúčik for THE HOBBIT (1990)

Peter Klúcik est né en 1953 à Bratislava, en Slovaquie. Il a étudié au département de graphisme et d'illustration du livre à l'Académie des beaux-arts de Bratislava en 1974-1980. Il est engagé dans les arts graphiques, la peinture, le dessin et l'illustration de livres.


Une petite histoire derrière ces illustrations

Peter Klúcik, illustrateur de longue date, a été invité à illustrer The Hobbit de JRR Tolkien peu après la chute du communisme en 1989. Pour ce projet, il a créé une quarantaine d'illustrations riches en détails qui transmettaient très bien l'atmosphère mystérieuse du livre. Mais la maison d'édition qui les a commandés n'a pas réussi à s'adapter à l'économie de marché et a perdu le droit de publier le livre. Un second éditeur s'approcha de lui, mais seulement pour la couverture du livre. Puis une troisième maison d'édition est apparue après que la Tolkien-Mania eut été incitée par la sortie en 2001 du premier film de la trilogie Le Seigneur des Anneaux, mais les droits d'auteur lui ont été refusés.

Après tout cela, Klúcik a pris une décision : il est passé de l'illustration à la peinture et depuis lors, il crée un monde fantastique d'animaux mystérieux à l'aide d'huile sur toile. Il trouve son inspiration dans les vrais animaux qu'il voit dans les livres et les documentaires télévisés, tels que les tigres, les zèbres et les rhinocéros. Il applique à ces images son imagination débridée, tordant leurs corps et jouant avec leur fourrure et leurs couleurs jusqu'à ce qu'elles se transforment en créatures nouvelles et inconnues vivant dans un environnement fantastique.

Avant de renoncer à l'illustration, Klúcik a créé des images pour environ 40 livres, notamment Pippi Longstocking d'Astrid Lindgren et Robinson Crusoé de Daniel Defoe. Mais le livre qui lui a permis d’élargir le plus son imagination et l’a amené au chemin qu’il a tracé est le dernier qu’il ait illustré: The Hobbit de Tolkien. Des écureuils poilus malfaisants mais drôles aux queues frisées sur les dragons volants, c’était une transition facile vers son monde rêvé, habité uniquement par des animaux.







jeudi 27 juin 2019

Revolution 9 (Remastered 2009)

A propos de Mantoid Universe

"Fuck l'équilibre des personnages : le jeu cherche à simuler l'instabilité et l'imprévisibilité[...]. Le Chaos incarné !"
"Fuck les scénario millimétrés : il est interdit de préparer son scénario. [...]Le meneur doit être surpris et improviser."
"Fuck le méta-jeu : si un joueur hésite c'est son personnage qui hésite. S'il part aux chiottes continuez à jouer !"

On a à peine commencé à lire Mantoïd Universe, le dernier jeu de Batronoban, qu'on tombe sur une page d'anti-conseils de jeu qui nous invite à jeter aux orties toutes nos bonnes pratiques rôlistes : "Fuck le calme", "Fuck l'écran", "Fuck les chaises", "Fuck", "Fuck", Fuck"...Bref on est un peu déstabilisé mais on est rapidement dans l'ambiance.

Une ambiance adaptée à l'univers du jeu : on évolue sur la Mer du Chaos dans des les miettes d'un monde qui a été vomi par le dieu Azathoth, c'est du post-Apo qui ferait passer le dernier Mad Max pour une paisible ballade à la campagne, c'est peuplé de créatures bizarres comme des cyborgs détraqués, des junkies qui sniffent du pétrole, des clones qui reviennent à la vie et des Hommes-Porcs végétariens. Comme avec les précédents jeux de l'auteur, dont le fameux Chevalerie et Sodomie, l'univers est à la fois horrifique, délirant et obscène. Attendez-vous à y trouver des personnages motivés par le stupre, à changer plusieurs fois de sexe suite aux sorts jetés par les mathématiciens du vide et à vous battre contre des mille-pattes humains ("Fuck le bon goût" fait évidemment partie des conseils que l'on peut lire dans le livre).  Les idées folles de l'auteur viennent de plus rencontrer le style visuel de Jeremy Famir qui illustre richement l'ouvrage et concourt à l'esthétique décalée et magnifique du jeu.




La grande réussite de Mantoïd Universe c'est sa capacité à faire déborder le chaos de son univers dans nos parties. Le jeu s'inscrit dans la mouvance "old school" et remet au centre des parties l'aléatoire. Les caractéristiques, les motivations, le sexe, les préférences sexuelles et même le nom des personnages sont tirés aux dés...ne vous étonnez pas d'avoir à jouer Trashium, un Homme-Mouche hermaphrodite et adorateur du Chaos ou Mikipute, un cyborg qui se déplace en rebondissant. Mais le livre est surtout bourré de tables aléatoires permettant d'improviser des rebondissements et produisant des effets absurdes, horrifiques et/ou drôles tout au long de la partie. Les personnages sont extrêmement vulnérables face aux dangers de la Mer du Chaos. La mort n'est jamais séparée des personnages que d'un ou deux jets de dés et, comme l'écrit le texte du jeu, les joueurs n'ont qu'assez peu prise sur le monde : "c'est le monde qui aura de l'impact sur eux". Mourir lors de la création des personnages -qui dure moins de 5 minutes- est ainsi un événement fréquent mais toujours hilarant.




L'imprévisibilité du monde devient ainsi l'imprévisibilité de la partie, imprévisibilité renforcée par des éléments aléatoires qui viennent directement affecter l'organisation de la table. Il pourra arriver qu'un joueur devienne MJ pendant 3 minutes et se permettre d'envoyer le scénario dans le décor. D'autres tables auront l'occasion de voir un joueur incarner un personnage motivé par un instinct de destruction présenté ainsi "votre petit plaisir, c'est de tout détruire... les meubles, les gens, les décors et même les parties de jeu comme celle-ci"...

On voit bien ici jusqu'où va la radicalité de Mantoïd Universe qui donne une telle place au chaos qu'il va jusqu'à inciter ses joueurs à saborder la partie. Cette dernière devient ainsi un happening monstrueux mais joyeux, un tour de montagnes russes qui finira probablement dans le décor mais qui sera l'occasion pour tout le monde de rivaliser de créativité pendant deux ou trois heures. (Source Blog Rôliste sur internet)

mercredi 26 juin 2019

Play The Graffiti Game With Superman

From Best Of DC #01 (Sept-Oct1979)

Art by Curt Swan, Joe Kubert, Dick Giordano, Dick Dillin, Neal Adams, Curt Schaffenberger, Irv Novick, Howard Chaykin, Joe Orlando, Michael Kaluta And Sergio Aragones



1982 Dungeons & Dragons monster cards

Ces cartes étaient publiées pendant ce que certains anciens nomment l'Age d'Or de D&D. On pourrait raisonnablement faire valoir que l'âge d'or "pur" se termine quelque part entre 1979 et 1981, selon que l'on considère que l'achèvement vient de AD&D ou la commercialisation de masse du jeu à travers les règles de base de Moldvay qui ont porté un coup dur à la culture du début de D&D. The Golden Age, c'est un D&D "gonzo pulp fantasy", avec un méli-mélo d'influences, en particulier Howard, Vance, Leiber, de Camp et Pratt. Le donjon reste la cheville ouvrière de la conception de l'aventure et le bac à sable est le rôle assumé pour un cadre de campagne.










The Mask of Fu Manchu by Shawn Van Briesen

Une illustration trouvée sur le Deviant Art de Shawn Van Briesen.

Le masque de Fu Manchu est un film MGM / Cosmopolitan sorti en 1932, mettant en vedette Boris Karloff comme Fu Manchu et Myrna Loy comme sa fille: Fah Lo See comme les méchants sadiques. Les deux en «face jaune». C'était le premier film dans lequel le public a entendu la voix de Karloff et son zozotement caractéristique. Beaucoup de gens pensaient que cela faisait partie du personnage de Fu Manchu.

Lors de sa sortie initiale, Le masque de Fu Manchu a été critiqué par le gouvernement chinois et l'ambassade de Chine à Washington a déposé une plainte officielle contre le film pour sa représentation hostile des Chinois. Le discours où Fu Manchu dit à ses partisans: "Puis conquérir et élever ... tuer l'homme blanc ... et prendre ses femmes !" a fait l'objet de vives critiques.

Certains autres critiques se sont également opposés aux représentations de violence et de sexualité du film. La réédition du film en 1972 a suscité des protestations de la part de la Japanese American Citizens League, qui a déclaré que «le film était offensant et humiliant pour les Américains d'origine asiatique». En raison de la critique du racisme du film, la sortie VHS du film en 1992 a supprimé plusieurs scènes contenant les lignes de dialogue les plus critiquées, comme le discours "Tuez l'homme blanc".

Aujourd'hui, c'est un morceau intéressant de l'histoire d'Hollywood. La dernière version publiée par TCM qui a entièrement restauré le film dans sa version originale.




Moi ce type d'illustration me donne des envie de jouer une campagne Pulp en Chine dans une ambiance telle que celle que l'on trouve au début d'Indiana Jones et le Temple Maudit, en y rajoutant un soupçon de Mythos ou de SF.

Ian Miller - The locusts, the martian chronicles interior illustration, 1979



« Les Sauterelles » (Février 2002/2033)

Tout d' abord paru dans The Martian Chronicles.

Cette vignette concerne la colonisation rapide de Mars. Le titre fait référence aux roquettes et aux colons qui se propagent rapidement dans l'ensemble de la planète Mars.

Moi ça m'évoque en effet une armée qui part en guerre, mais il y a un je ne sais quoi de "Fantasy" dans les personnages, pour illustrer mon Multivers, je situerai cette illustration pendant les guerres coloniales de 1000 ans par exemple. Ou alors une planète plutôt Sword & Sorcery, mais avec de la super-science exploitée par un Tyran pour équiper ses armées...

mardi 25 juin 2019

Jeu de Rôle - Mantoid Universe

Je continue à augmenter ma collection de ressources rôlistiques avec l'achat de Mantoid Universe, que je voulais effectué depuis longtemps.




Si vous avez déjà joué aux précédents jeux de Batro’Games (Space Sword, Planète Hurlante), sachez que Mantoid Universe est le prolongement chronologique de ces univers (intitulé : la trilogie du chaos). Mais pas besoin de connaître ces jeux pour apprécier pleinement Mantoid Universe puisque ici, la fin du monde a eu lieu, Azathoth, le dieu du chaos, a tout détruit. Laissant place à un Gloubiboulga de violence, de mutation, de folie et de dépravation. Bref, le chaos sous toutes ses formes. Et pourtant, le tour de force de l’auteur, Batronoban, est de réussir à rendre ce n’importe quoi cohérent, fun et ludique.




Comme le dit l'auteur, c'est un jeu de rôle de science-fantasy délirante. Au départ conçu comme un supplément à Planète Hurlante, il est devenu un jeu à part entière. Il est réservé à des joueurs adultes : il y a du thrash metal, de la drogue, du pétrole : la vie, quoi !

C'est une suite indirecte à Planète Hurlante et à Space Sword, et constitue donc le troisième et ultime opus de cette Trilogie du Chaos. Le métal, H.R. Giger William Burroughs et les BD de Druillet sont les inspirations principales.




Donc, Azathoth a tout pété, laissant les résidus des planètes sous forme d’îlots flottants sur la mer du chaos. Dans ces restes d’avant, un leader apparu – Androgyne-roi – qui unit tous les peuples jusqu’alors perdus. Mais ce dernier créa deux peuples qui se rebellèrent successivement contre sa toute puissance : les Sumériens et les Voyvodes (robots-sorciers). Deux peuples dont la puissance ne cesse d’augmenter et leur ombre menaçante de grandir. Beaucoup d’autres factions (des chevaliers d’or, des hommes-porcs, etc.), sont également décrits, venant ainsi enrichir l’univers et offrir autant de leviers  sur lesquels le MJ pourra agir.

Les joueurs ne commence pas avec un personnage, mais avec deux, trois voire quatre. Chaque protagoniste est généré aléatoirement (à l’aide de tableaux). Avec un D12, on tire plusieurs attributs les uns à la suites des autres : le peuple, la classe, la qualité, la motivation et les points de vie du personnage. Tout est fait pour aller vite et à l’essentiel. Ne vous attendez pas à des grands moments de roleplay dans Mantoid Universe. Le jeu propose plutôt une aventure rapide, intense et fun, jouant constamment aux montagnes russes, rythmé par le côté aléatoire – chaotique, même – voulu par le dieu Azathoth.

Les personnages n’ont pas de caracs chiffrées : chaque action se résout au D12 : 1-5, c’est un échec, 6-9 « réussit, mais… » et de 10 à 12, c’est une réussite. Mais ne voyez pas ce système minimaliste comme une mauvaise chose. L’intérêt du jeu n’est pas là, mais plutôt dans l’aléatoire et le fun que propose l’univers.




La scène d’introduction de chaque aventure sera toujours la même : tous les personnages de tous les joueurs devront combattre dans une arène complètement folle. Le joueur devra choisir parmi ses survivants son élu divin. Ce dernier passera niveau 1 (nouvelle compétence, plus de points de vie) et il sera mandaté pour effectuer une mission au nom d’Androgyne-roi ou du crabe (chef de la mafia : mission de contrebande, mercenariat, etc.). Chaque mission est générée aléatoirement (à l’aide de tableaux, toujours) au début de la séance pour un format de parties courtes allant de 1h30 à 3h00 de jeu.

Vous l’avez compris, le jeu s’appuie énormément sur des tableaux. Ce qui offre aux meneurs de nombreux exemples pour retranscrire fidèlement l’univers voulu par l’auteur. C’est un point rassurant pour les MJ qui auraient peur de ne pas avoir assez de folie en eux pour se lancer dans le jeu. Attention toutefois, à l’inverse, la consultation trop fréquente de ces tableaux peut ralentir la dynamique effrénée voulue par le jeu.




La première moitié du livre commence par des conseils de jeu adressés au meneur. Pour résumer: « Fuck » tout ce que vous connaissez, « Fuck » vos habitudes de jeux et lâchez-vous !

A travers tous ces conseils et ces exemples, l’auteur réussit le tour de force de retranscrire, au delà de son univers, SA manière de faire jouer. Et c’est pourquoi je trouve que Mantoid Universe est un très bon jeu pour tous les joueurs qui souhaitent passer de l’autre coté de l’écran : des parties courtes allant de 1h à 3h, plein d’exemples et de conseils, beaucoup de tableaux pour amorcer l’improvisation et surtout, surtout, pouvoir mettre en place le chaos ambiant voulu par Azathoth.




La deuxième partie du livre développe l’univers du jeu et ses protagonistes. Rien n’est détaillé et pourtant, on a l’impression que tout y est. Vous avez besoin de mettre en jeu de la contrebande ? Faîtes intervenir le crabe. Vous avez besoin de remettre un peu d’ordre et de discipline, faîtes intervenir les chevaliers d’or – la garde d’élite d’Androgyne-roi. Il y a même des propositions ludiques d’apparence anecdotiques mais tellement fun. Comme par exemple les Zazamon, des petits animaux de compagnie créés par les prêtres d’Azathoth. Vous pouvez les capturer, les dresser, les faire monter de niveau et les faire combattre dans des arènes. Bien évidement, tout n’est pas rose et mignon (et oui, bienvenue chez Batrogames !), un Zazamon utile est un Zazamon mort. En effet, une fois sacrifié, il offre un point de chance par niveau acquis (le cœur des Zazamons est constitué de chaos pur).




En bref, Mantoid Universe un jeu Punk. Mais c’est quoi un jeu punk ? Et bien c’est quoi le punk d’abord ? Pour grossir le trait, c’est un courant musical et artistique qui prône la simplicité, la “crudité” (enfin le fait d ‘être cru quoi), le nihilisme et une forme de désespoir envers l’avenir. C’est aussi un mouvement qui rejette les conventions et le principe même de règles et de bienséance. Le tout sans oublier d’avoir un vrai talent artistique et un goût pour le beau, y compris et surtout le laid beau. Le punk cherche à choquer, déranger et remettre en cause les dogmes.

C’est exactement ce que fait Mantoid. En témoigne cette page surréaliste composée uniquement d’une longue liste de “Fuck!”.

C’est un livre laid mais beau. Simple mais complexe. Facile mais dur. Idéal pour débuter mais difficile d’accès. Bref c’est punk et c’est putain de bien. (Sources diverses)


lundi 24 juin 2019

Ron Cobb concept art for CONAN THE BARBARIAN (1982)

Ron Cobb (né en 1937 à Los Angeles) est un dessinateur de presse, illustrateur, chef décorateur, scénariste et réalisateur américain.

Ses premiers dessins sont rassemblés en 1967 par Sawyer Press. D'autres recueils suivent, édités en Amérique ou en Australie. Son recueil broché en noir et blanc My fellow Americans traitant de politique, d'écologie et de technologie, se vend dans les rues en France, en Belgique et aux Pays-Bas. Une version française est éditée au même format sous le nom Tous copains, tous Américains. En France, toujours, Le Livre de Cobb, reprenant ses dessins de presse, est publié en 1978 par les éditions Dandelion.

En 1981, une monographie intitulée Colorvision présente une grande partie de son travail pour les films La Guerre des étoiles (1977), Alien (1979) et Conan le Barbare (1982), premier long métrage pour lequel il est cité au générique comme chef décorateur ; ses dessins de deux accessoires du film — l'épée du père Conan et celle qu'il trouve dans le tombeau — sont toujours utilisés pour fabriquer des répliques achetées par les fans.

Cobb a également contribué aux films Starfighter (1984), Profession : Génie (1985), Retour vers le futur (1985), Aliens, le retour (1986), Abyss (1989), Leviathan (1989), Total Recall (1990), True Lies (1994), Le Sixième Jour (2000), Comme chiens et chats (2001) et Southland Tales (2006).

À la fin des années 1970, Cobb participe à l'écriture de Night Skies, une première version, d'inspiration plus sombre, du film E.T. l'extra-terrestre (1982). Steven Spielberg lui propose d'en être le metteur en scène mais la réalisation des effets spéciaux pose problème et une réécriture majeure du scénario s'avère nécessaire. Cobb, bloqué sur le tournage de Conan le Barbare en Espagne, ne peut s'en charger. Spielberg décide alors de s'y atteler et donne au film une orientation plus personnelle qui l'amène à en assurer la réalisation.

Au cours des années 1980, Cobb coécrit avec sa femme Sans abri, un épisode de La Cinquième Dimension. Il réalise aussi en 1992 une comédie intitulée Garbo.

Pendant les années 1990, il travaille avec l'éditeur de jeux Rocket Science Games sur Loadstar: The Legend of Tully Bodine (1994) et The Space Bar (1997), pour lequel il conçoit tous les personnages.

Son site : http://roncobb.net/index.html











Savage Sword of Conan #6 - “A Suitor’s Revenge” (2019)

Written by Meredith Finch
Art by Luke Ross & Nolan Woodard