Orfée: Il y a beaucoup d'entités, bien sûr. D'ailleurs, elles sont représentées dans tout l'art Trance. Les extraterrestres, les lutins, les reptiliens, même les démons… Et que tu prennes des drogues ou pas, tu te mets en connexion avec ces entités. Il faut savoir que danser, c'est ouvrir chaque point énergétique sur le corps. Tu danses, tu t'agites, mais tu es complètement ouvert, et tu t'alignes avec tout ce qui est autour. Mais pendant que tu pars en transe, tu t'alignes sur quoi et avec qui? J'ai commencé à voir des magiciens qui traînaient au bord du dancefloor (piste de danse). On les appelle les rois, les reines, les jokers. Ce sont eux qui sont les chefs de leur tribu; ils disent «C'est ici qu'est la party». Chaque pays a son roi et sa reine. C'est localisé. Il n’y a pas que des gens qui s’amusent – il y en a qui sont connectés à des entités très sombres. C'est lié aux dealers également. Une grosse protection est offerte à ces dealers en échange de leur travail. Ils passent les frontières sans problème... et ils vivent bien. Ils font facilement une quinzaine de pays dans l'année, ils voyagent à droite à gauche, dans de superbes villas. Ils ont leur moto...
C.R.O.M.: Tu disais que les DJs peuvent produire des sortilèges à partir de la musique. As-tu des expériences par rapport à cela ?
Orfée: Ils peuvent te faire faire n'importe quoi, si tu danses sur leur musique. Il suffit que tu t'alignes avec des fréquences que tu n'entends presque pas... Mais tu le sens, quelque part. Quand tout le monde est connecté, quand tout le monde danse, tu sens ce que te dit le DJ à travers la musique. Elle te parle. Tu peux être d'accord ou pas d'accord, mais c'est le DJ qui décide. J’ai vu des DJ-magiciens qui, depuis leurs platines, lançaient des sortes de mini-tornades à travers la salle, des vortex qui passaient au-dessus de la foule et lui aspiraient toute son énergie. Et le DJ était clairement conscient de ce qu’il faisait. Il y a des parties qui réunissent 8000 personnes. 8000 personnes dansant ensemble, c'est une énergie colossale, équivalent à celle d'un sacrifice humain. Ce que j'ai compris par rapport aux parties, c'est qu'il s'agit de plateformes pour que des entités désincarnées puissent prendre possession de corps, surtout de jeunes corps. Pendant que les consciences sont ouvertes – par la drogue, par la danse, etc... – il y a des personnes autour du dancefloor qui invitent des entités désincarnées à prendre leur place. C'est ce qu'une amie m'a révélé. J'avais déjà compris plus ou moins, mais, une fois, j'ai eu envie de la confronter pour savoir ce qu'ils font vraiment. Elle m'a souri en disant : «Mais, il faut bien que ces entités aient quelque part où aller. Elles aussi ont le droit d'avoir des corps!» Tout était dit ! Du business, rien que du business ! Elle est dealeuse, alors elle est protégée, elle a la grande vie, la jet set, etc. Mais, en contrepartie, elle facilite ce qu’elle appelle le «passage des âmes» – en réalité l’infraction dans les corps humains ). Si toi tu as vraiment envie d'y croire – «Trust in Trance», comme on dit dans le milieu – si tu veux savoir, alors ils vont te proposer de les rejoindre dans leur petite famille merveilleuse.
Ce qui précède est l'extrait d'un pseudo interview issu de la complosphère, ici à propos de possibles dérives occultes dans les soirées de Trance Psychédélique, vous pouvez lire l'interview complète ici et bien sur que c'est des conneries. Mais je trouve que c'est une accroche intéressante pour un scénario de Jdr, un DJ ou un groupe de musique, travaillant en sous main pour des extraterrestres, des démons, des vampires ??? Le but étant de dominer une foule de spectateurs, de drainer leur énergie vitale ou psychique, des les formater mentalement ou toute autre chose... On retrouve déjà cette idée dans différentes œuvres il me semble, les PJ pourraient être amenés à enquêter dans un festival de musique pour mettre à jour un complot cultiste par exemple.
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