Dans un fil de discussion quelque part sur
CasusNo, que je ne fréquente que très très rarement, je suis tombé récemment, concernant un jeu de Space Opera Gonzo, sur un message qui évoquait
Dungeons: the Dragoning 40000, vous pouvez trouver
la 7ème édition à télécharger ici. Un jeu qui se veut être un mélange de plein de choses, Warhammer 40 000 et D&D (en particulier Spelljammer et Planescape ), des morceaux d' Exalted , World of Darkness , Mass Effect et divers autres éléments. Il a apparemment été publié un jour de poisson d'avril, je ne sais même pas si c'est un truc sérieux ou non, mais ce qui est sûr c'est que moi les mélanges WTF ça me botte toujours. Et là, je fais un constat, je pense à des jeux comme Rifts, World of Synnibarr et surement d'autres... Pourquoi dès qu'il s'agit d'un jeu qui veut mélanger tout et n'importe quoi, il faut que les auteurs fassent dans la surenchère de règles, est-ce pour justifier qu'on rempli son univers de tonnes de trucs qu'il faut des tonnes de règles pour ces tonnes de trucs ?
Je comprends l'aversion que certains vont avoir pour ces jeux, c'est déjà dur de présenter des jeux type Multiversels très très remplis de toutes sortes d'idées, cela peut sembler calorifique en contexte, si en plus on propose une indigestion de règles, alors...
Pourtant il y a de quoi faire avec des règles à l'ancienne, simples comme B/X, la preuve des jeux comme
Neon Lords of the Toxic Wasteland, voire des choses encore plus simples, je pense aux jeux de Batronoban comme
Planète Hurlante,
Mantoid Universe... Des jeux comme DCC peuvent couvrir beaucoup de choses avec un brin de conversions, de même que beaucoup de trucs OSR... Je pense qu'au contraire, plus l'univers du jeu est "Fat", gras, rempli de tonnes de choses et d'influences diverses et variées, plus le système doit être simple et léger, et faire confiance à l'imagination et au bon sens des joueurs et du MJ pour plus de fun, puisque c'est ce que ces jeux cherchent souvent à émuler, du fun.
Bref c'était la petite réflexion du jour...
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