Que dire, Alien, nous avons joué un groupe de Marines Coloniaux des Amériques-Unis envoyés à la poursuite d'un groupe de déserteur sur une lune minière. Nous avons assisté à l'invasion de la lune par l'UPP (L'Union des Peuples Progressistes) et avons tenté de rallier notre base au travers des combats urbains. Avec un scénario très orienté escarmouche et des brouettes de D6, ça ressemblait plus à une partie de wargame sans figurines. Mais c'était très fun, nous étions clairement une bande de gros bourrins et nous avons tous fini avec des oreilles en moins, des tripes pendantes ou des pieds broyés, mais toujours prêts à en découdre, dire que nous n'avons pas encore croisé de xenomorphes...
Pas de Sress, on est des Marines, c'est notre job...
Quand à Over Arms, l'équipe était au complet, Hans et son anima gogo dancer, Jack qui a toujours la facheuse tendance de se balader à poil partout où il va avec son anima costume d'ours, Didier et son anima Artic Monkey et enfin Ruyji et son anima composé de petits kamis qui ressemblent à des gobelins.
Un kami de Ruyji (tel que présenté par son joueur), c'est ti pas mimi...
Nous avons repris l'aventure là où elle s'était arrêtée il y a plus d'un an (tant de temps s'est écoulé), au sortir du laboratoire clandestin que nous avions exploré lors de la dernière partie et bien mal en point. Donc après avoir fomenté un plan pour s'échapper de l'hôpital par la fenêtre n'ayant pas les moyens de payer les frais d'hospitalisation (nous sommes fauchés), s'être fait recruter par le FBI qui nous a promis d'effacer nos casiers (nous ne sommes pas des anges) et de fermer les yeux sur les quelques magouilles de Hans notre pote agent fédéral, nous avons retrouver notre repère, la salle de fitness pour nous entraîner en vu de la mission que le FBI nous a attribué (nous n'avons pas eu le choix).
Nous avons donc infiltré un casino lié au trafic de drogue sur lequel nous enquêtions pour pirater l'ordi du patron. Evidemment, notre fine équipe s'est vite faite remarquer quand Didier apostrophait tous les gardes et le personnel à la recherche de Julien (notre fil rouge) et quand Jack pris par la fibre artistique est monté sur la scène de danse du casino à poil avec un accordéon pour commencer à jouer, ce qui a déclenché l'hystérie dans la foule qui sautait bras en l'air à l'unisson et là ça a dérapé, infiltration 0, carnage 1.
Jack pris d'une fibre artistique met son costume d'ours...
Et se pointe sur la scène du casino...
Pour se lancer dans une folle session d'accordéon, oubliant que les non manieurs ne voient pas son anima mais juste un gars à poil qui s'est lancé dans une furieuse session d'accordéon.
Nous voilà donc, courant dans le casino, poursuivit par des gardes, usant de nos animas à tout va pour nous en débarrasser, les non manieurs voyant courir devant eux un type revêtu d'une armure de bouffe, de papier, de boîtes de conserves et plein d'autres saletés (Ruyji), un autre gars à poil en train de rugir comme un ours avec un accordéon (Jack), un troisième larron se déplaçant toujours avec de la musique en fond sonore, désespéré d'avoir cassé son pistolet et ne sachant plus comment utiliser son anima sans (Hans) et Didier... Didier quoi...
Après cette course poursuite, nous avons atteint le sommet du bâtiment où avec cette musique épique en fond (Mortal Kombat !!!)...
... Nous avons affronter le patron du casino, un manieur avec son anima "Slot Machine" et ses canons à jetons et ses attaques surprises basées sur l'affichage de ses rouleaux (comme une pluie de lingots sur nos têtes par exemple).
"Slot Machine"
Bref après avoir triomphé de lui et réussi à nous enfuir avec un hélicoptère qui se trouvait sur le toit, nous avons regagné notre repère et essayé de pirater l'ordi du patron du casino pour voir si nous trouvions des infos sur le trafic de drogue. Devant notre incompétence en la matière, nous nous sommes résolus à appeler le FBI, la suite au prochain épisode...
Voilà donc pour cette aventure très homo-érotiques (ce qui se passe au club de fitness reste au club de fitness) et surtout très fun durant laquelle nous nous sommes encore tapés des barres (de rire)... Over Arms c'est vraiment toujours aussi bien.
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