La première est l'Eglise de la fleur malade . C'est techniquement le plus grand des deux, bien que ce soit en partie à cause du grand espace extérieur. En tout, il y a moins de pièces à visiter. Les petites pièces carrées sur le côté droit sont également destinées à être fouillées à l'aide d'une petite table aléatoire pendant le jeu.
Le second donjon est le Tombeau du roi Oraine (également appelé le Tombeau de verre maudit sur la page d'index). Celui-ci est bien plus grand en terme de salles à explorer. Il y a plus de trésors et quelques factions différentes avec lesquelles les personnages joueurs peuvent interagir. Personnellement, je trouve aussi celui-ci plus joli. Il y a plus de contraste et même les zones avec beaucoup de carreaux de couleur similaire ont des variations qui brisent le côté monotone possible.
Je classerais ces deux aventures comme "épouvante", car les deux impliquent d'explorer un espace abandonné effrayant, de rassembler des indices sur ce qui s'est passé ici, et de combattre potentiellement un seul grand monstre extrêmement dangereux à l'apogée. Ce qui ne veut pas dire qu'il n'y a pas un certain nombre de petits monstres dans chaque donjon, mais le "boss" de chaque zone est beaucoup plus dangereux que toute autre créature sur place.
L'écriture des scénarios est assez concise, mais parvient à contenir beaucoup de détails, idem pour les cartes.
Les monstres et les trésors sont tous uniques. Les monstres sont décrits d'une manière qui respecte les règles et sont compatibles universellement. Vous aves le nombre de dés pour toucher, comment ils attaquent et comment ils se défendent. Un couple de monstres a des considérations spéciales, comme le fait que si une chose rampante tue quelqu'un, elle "commencera à dévorer voracement la victime, en ignorant tout le reste". Encore une fois, l'écriture ici est brève, mais je pense que cela donne suffisamment de matières. Le trésor est similaire, brèves descriptions des objets, suivies d'un prix, libellé en argent.
Il y a quelque chose de fascinant à voir ces deux donjons inspirés par les jeux vidéo roguelike (sous-genre de jeu vidéo de rôle dans lequel le joueur explore un donjon infesté de monstres qu’il doit combattre pour gagner de l’expérience et des trésors). Il y a une étincelle de créativité vitale, mais le texte a également les caractéristiques de quelqu'un qui connaît bien les Jdr.
L'écriture des scénarios est assez concise, mais parvient à contenir beaucoup de détails, idem pour les cartes.
Les monstres et les trésors sont tous uniques. Les monstres sont décrits d'une manière qui respecte les règles et sont compatibles universellement. Vous aves le nombre de dés pour toucher, comment ils attaquent et comment ils se défendent. Un couple de monstres a des considérations spéciales, comme le fait que si une chose rampante tue quelqu'un, elle "commencera à dévorer voracement la victime, en ignorant tout le reste". Encore une fois, l'écriture ici est brève, mais je pense que cela donne suffisamment de matières. Le trésor est similaire, brèves descriptions des objets, suivies d'un prix, libellé en argent.
Il y a quelque chose de fascinant à voir ces deux donjons inspirés par les jeux vidéo roguelike (sous-genre de jeu vidéo de rôle dans lequel le joueur explore un donjon infesté de monstres qu’il doit combattre pour gagner de l’expérience et des trésors). Il y a une étincelle de créativité vitale, mais le texte a également les caractéristiques de quelqu'un qui connaît bien les Jdr.
C'est une originalité que j'aime bien de représenter des cartes de donjons en ASCII. Je n'ai jamais joué (et je doute que je le fasse, bien que j'adore le retrogaming) à un roguelike en symboles ASCII mais ce genre de jeu m'a toujours fasciné.
RépondreSupprimerMoi c'est pareil, je suis fasciné par ces cartes, ce qui est sympa c'est qu'en plus le type livre assez d'éléments pour façonner autour un petit scénario pour une exploration de donjon.
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